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Bonjour, ravie de vous en dire plus sur moi.
Posez-vous et c'est parti.

Catherine MUSTIERE

Parce que la Vie vaut d'être pleinement vécue.

C'est un miracle d'être là alors autant en faire quelque chose de beau et qui dure.

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Pendant des années, je me suis laissée porter, entrainer. Plus ou moins anesthésiée par le quotidien, parfois la tête dans le guidon. J'ai fait des choix et des non-choix.

Je faisais confiance à mes ressentis. Je le sens, je le sens pas. Pour un travail, une relation, un changement, une thérapie...

Ne sachant pas trop vers où j'allais, quel était mon objectif. Mais j'avançais avec confiance et optimisme.

J'ai eu des déceptions bien sûr. Des blessures aussi.

A 15 ans, j'ai commencé des études d'art à Paris (École Boulle puis Duperré et les Arts Déco). Jusqu'à ce jour où, soudain, je ne me suis plus sentie à ma place. Un décalage, un truc qui coince. Plus envie. J'ai changé de cap.

A 17 ans, j'ai découvert l'auto-hypnose, la sophrologie que je pratiquais sur moi. J'aimais ces moments de total lâcher-prise pendant lesquels l'inconscient travaille. Cette non-maitrise d'un processus dans lequel j'ai une totale confiance pour réparer, rééquilibrer, restaurer.

Après des années dans le secteur de l'animation en tant qu'animatrice puis directrice de séjours, je débute dans l'Action Sociale. Dans un bureau, avec une hiérarchie, des collègues plus ou moins agréables, des règles, des procédures. Mais mon côté empêcheuse de tourner en rond, mon besoin d’interroger les pratiques, de trouver du sens s'est heurté à l'organisation. Et j'ai été menacée de licenciement : "On ne vous reproche rien Madame Mustière, mais s'il le faut, on utilisera  l'article A432-LV33-UBU-SpaceX pour vous licencier".

Injustice. Colère. Abattement. Désenchantement. Incompréhension.

Et là, BAM. Le coup de massue. Le coup d'arrêt. Examen médical de routine. Coup de fil de la spécialiste : "Il va falloir réaliser une biopsie". A 32 ans, on m'annonce que j'ai une maladie. Papillomavirus, adénocarcinome stade ??? Ok, j'ai un dérèglement cellulaire, un cancer. Je ne suis pas malade, j'ai une maladie.

A partir de là, j'ai vécu des semaines qui ont contribué à ce que je suis aujourd'hui. Des semaines à attendre des résultats, à avoir peur, à tutoyer la mort. Mais des semaines qui ont accéléré mon évolution, mon développement personnel et mon éveil spirituel. Cette maladie a été un déclencheur, un signal.

J'ai intégré que j'étais mortelle. Que je n'avais pas toute la Vie devant moi pour réaliser mes projets, mes envies, pour vivre. Je me suis éveillée, réveillée.

C'est quoi mon essentiel ? C'est quoi mes priorités ?

Si je devais mourir dans 6 mois, qu'est-ce que j'aurais aimer vivre avant ? Qu'est-ce qui ferait que je ne regretterais pas de partir si tôt ? Pourquoi j'ai pas envie de mourir maintenant ?

Elle n'était pas toujours présente cette conscience de la mort qui mettait à distance ce qui n'était pas important pour moi. Mais c'est devenu une ligne de conduite, un guide, un moteur.

Ça a duré 8 mois entre la biopsie et l'annonce de la guérison. 8 mois à m'éveiller, à profiter de chaque instant, à remettre les choses, et les gens, à leur juste place, à discerner de mieux en mieux mon essentiel, à relativiser, prendre du recul, de la hauteur, à faire un pas de côté.

Cette période de ma Vie m'a fait faire un bond de géant dans ma conscience.

La conscience d'être moi, d'être en vie. De ce que je suis. De ce que je veux vivre et ne plus vivre.

Mais pas n'importe comment, ni n’importe quoi. Ni à n'importe quel prix.

Ça a été une leçon de vie magnifique. Dure mais tellement éclairante. Car je ne concevais pas que ce qui m'arrivait était un hasard, de la malchance. C'était une alarme.

Dans les 3 autres postes que j'ai occupés par la suite, j'ai eu des signes qui me disaient que je n'étais pas encore sur le bon chemin, pas alignée. Que je ne me respectais pas. Je me malmenais, je me laissais malmenée. STOP !!! Ça suffit !!! Marre de flancher, d'avoir le cœur qui bat la chamade, marre d'avoir mal au dos, au genou, à la tête. D'aller au boulot à reculons. Sans parler des arrêts de travail; pas arrêt maladie, je n'étais pas malade, j'avais juste besoin de me retirer un peu, de sortir du tambour en mode essorage, de me retrouver, de me recentrer.

Besoin de reprendre mon souffle, des forces. D'arrêter d'être sollicitée (côtés pro et perso). Besoin de me protéger, de prendre du recul car sinon j'allais droit dans le mur, la tête dans le guidon.

J'ai décidé de quitter mon CDI dans la Fonction Publique.

Je voulais retrouver ma liberté, mon autonomie, gérer mon temps, me lever le matin avec plaisir, arrêter de subir, de me plier.

Arrêter de me nier. Me respecter de plus en plus.

Être honnête avec moi-même et pouvoir me regarder dans la glace avec fierté.

Je voulais vivre en accord avec mes valeurs et mes ressentis.

Et à partir de là, tout s'est enchainé.

J'ai semé, j'ai récolté.

J'ai demandé, j'ai obtenu.

J'ai été aidée, accompagnée, soutenue.

J'ai fait des choix, en me fiant à mon intuition, à mes ressentis.

Je me suis réveillée,éveillée, révélée.

Par amour de la Vie, par amour pour moi.

Avant d'en être là où je suis aujourd'hui, je me suis faite aidée par des thérapeutes pour prendre conscience et me débarrasser de ce qui m'avait freinée, empêchée jusqu’alors d'être en accord avec moi, d'être alignée avec celle que je suis.

J'ai été coachée et j'ai travaillé sur moi en libération émotionnelle pendant 9 mois. Un bon nettoyage qui m'a permise d'avancer, de me rapprocher de moi et d'atteindre mes objectifs. En laissant de la place à l'inattendu.

Depuis, je pratique en autonomie des techniques telles que l'auto-hypnose, le Reiki, la méditation guidée, ho'oponopono, le massage, le Do In, l'aromathérapie, la relaxation.

Aujourd'hui, je suis sophro-thérapeute. Car j'ai à cœur de mettre mes expériences, mon vécu et mes compétences au service des Autres. Yes you can !!!

Je me suis formée à la Sophrologie, au Reiki et au Coaching qui sont de merveilleux outils pour révéler et accoucher l'Humain. Je me sens comme une sage-femme de l'être.

J'aide les gens à renouer avec eux-même, à se (re)découvrir, à s'aimer et à être fier d'eux,

à lâcher les peurs, les croyances limitantes, les pensées et émotions toxiques,

à se débarrasser des vieux schémas handicapants,

à reprendre pied, à sortir la tête de l'eau,

à retrouver leur puissance, à développer leurs potentiels,

à goûter la joie, la joie d'être en vie,

à retrouver Confiance pour avancer, pour Vivre et non plus survivre.

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Dans la Vie, il y a des champs de mines et des champs de fleurs.

Je nettoie les premiers et multiplie les seconds.

Mon cabinet de sophrologie-reiki en Essonne (91)

à 17 min d’Étampes, 25 min de Pithiviers, 30 minutes de Dourdan, 37 min d'Arpajon, 50 min d’Évry.

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